Son travail, issu du graffiti, est composé de formes géométriques qui interagissent avec l’architecture ou le mobilier urbain. En envahissant les espaces publics dans lesquels il intervient, il veut modifier l’appréhension qu’ont les passants de l’espace urbain. À l’image des tags qui grouillent sur les murs de la ville et lui donne vie, l’art d’Erell se démultiplie afin d’interagir avec l’architecture. On peut admirer son travail à Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Berlin, Prague, New-York ou encore San Francisco.